Gustavo Petro n’a plus accès à son argent, car une grande partie du système bancaire colombien utilise des relais internationaux gérés par les États-Unis pour valider les transactions bancaires. Et pour le moment, les comptes bancaires et les cartes de crédit du président colombien sont bloqués.
Il y a quelques jours, l’avion présidentiel s’est même vu refuser un ravitaillement lors d’une escale en Espagne à cause de ces sanctions. Selon l’avocat du président colombien, ces sanctions sont un message du président américain Donald Trump à tous les dirigeants qui s’opposent à la politique étrangère américaine.
Me Daniel Kovalik prévoit de contester les sanctions devant les tribunaux américains et auprès du département du Trésor, mais « cela va être un processus très long », a-t-il dit redouter. Selon lui, « un tribunal colombien, peut-être un organisme international, pourrait s’en occuper », mais « soyons réalistes, les États-Unis ne répondent à personne ».



Pas obéissant aux états unis + Pas assez puissant = Méprisé et et harcelé par les états unis. A mon avis, la Russie, la Chine ou la Corée du Nord a moins à craindre des états unis que la Colombie…